JACQUES SAINT YVES

 

L'engagement musical de Jacques Saint Yves est riche de rencontre de confrontation artistique auprès de musiciens d'origine culturelle très différentes.

Très attaché au répertoire musical occidental jusqu'au création contemporaine, il est violon solo de l'ensemble 2E2M de 1993 à 1998, créer de nombreuses œuvres en tant que soliste et partenaires de musique de chambre dont plusieurs lui sont dédiés.

Il s'engage alors au sein de productions artistiques, concerts et spectacles vivants, tant en France qu’à l'étranger, auprès d'instrumentistes, de compositeurs, mais tout autant d'acteurs, mimes, danseurs et metteurs en scène.

En Asie, Asie mineure, Asie centrale, (Japon, Corée du Sud, Corée du Nord, Cambodge, Afghanistan, Géorgie, Turquie …) dans les pays du Maghreb, (Algérie, Maroc,…), Amériques (USA, Brésil …mais également en France (collaboration avec la Péniche-Opéra), il est appelé auprès de musiciens classiques, traditionnels, musiciens de jazz, en tant que partenaire et responsable de productions, créations artistiques et collaborations pédagogiques.

Ces rencontres multiples, confrontations, de traditions musicales écrites, orales et d'improvisées renouvellent à tout moment le regard qu'il porte sur la richesse du répertoire musical occidental.

Lauréat du Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris (premier prix de violon, musique de chambre, harmonie, contrepoint, fugue), il partage une intense activité pédagogique au sein de structures d'enseignement supérieur (CRR, CNSM de Paris, Université Paris 4 La Sorbonne … en tant que professeur de violon, musique de chambre, écriture et analyse musicale, harmonie au clavier et direction d'ensembles instrumentaux.

Il est invité dans de nombreuses écoles et universités (France, USA, Corée…) pour des stages et master classes.

 

Le prix Georges ENESCO décerné tous les 2 ans par la SACEM, honorant l'ensemble de l'activité internationale d'un violoniste français, lui a été remis en 1996 lors de l'enregistrement de la Sonate pour violon solo de BARTOK (AGON 1996).